Que cela soit en Amérique du Sud, en Europe, ou au Moyen-Orient, les archéologues ont mis à jour des centaines de blocs de pierre dont la taille et le poids nous laissent réfléchir sur l’avancée technologique de nos propres ancêtres.
Commet peut-on transporter une pierre pesant 300 tonnes ajustée sur 11 faces ? Les pierres sont si bien imbriquées les unes dans les autres que l’on ne peut même pas y mettre une lame de rasoir ! Les ruines de Sacsayhuaman au Pérou sont incroyables !
La cité antique de Baalbeck (Héliopolis) au Liban en vaut tout autant le détour:
Sur le côté ouest du podium du temple de Jupiter, on peut observer trois lourdes pierres, de 750 à 1 000 tonnes chacune, appelées le Trilithon. Comment a-t-on pu déplacer de telles masses à une époque reculée (antérieure aux Romains) ? A moins de deux kilomètres du site, existe une quatrième pierre encore partiellement attachée au sol et pesant elle-même 1200 tonnes. Les spécialistes ont estimé qu’il aurait fallu 40 000 hommes avec l’aide d’une rampe pour déplacer un seul de ces blocs depuis la carrière d’origine ! [Permettez moi mais je crois que cette hypothèse est fausse] La plus grande mesure 18 m sur 4.20 m par 3.60 m et pèse environ 800 tonnes. Aujourd’hui la plupart des grues modernes seraient incapables d’accomplir un tel exploit.
A travers ces deux exemples (sans parler bien entendu des pyramides de Gizeh ou encore des pierres du Machu Picchu qui ont été extraites de carrières situées à des dizaines et des dizaines de kilomètres), on peut facilement montrer que nos ancêtres avaient des techniques de construction très avancées car encore aujourd’hui il serait très difficile de déplacer des blocs de plus de 500 tonnes sur des kilomètres…
Et c’est d’autant plus étrange lorsqu’on sait que la civilisation inca ou maya n’a pas eu de contact direct avec la civilisation égyptienne ou romaine, alors que ces civilisations ont toutes réussi à tailler des blocs de pierres de quelques centaines de tonnes. Je pense que ces techniques ont été transmises par les rescapés de l’Atlantide après la destruction de leur continent Il s’agit d’une hypothèse bien entendu mais qu’il faut creuser davantage. En ce qui concerne les techniques pour déplacer de si gros blocs de pierres, je ne crois pas du tout à l’image représentant des esclaves contraints de tirer des blocs sous la menace des soldats. En réalité, il n’y a aucunes représentations de la construction des pyramides !
Dans une carrière proche du temple de Jupiter à Baalbek au Liban, la pierre de la femme enceinte pèse plus de 1200 tonnes !! Pour la déplacer aujourd’hui, il faudrait la force de 21 grues modernes...
L’antigravitation : la clé de l’énigme ?
La technologie de l’anti-gravitation même si elle nous paraît impossible permet d’expliquer davantage de monuments comme l’a bien souligné Egard Cayce, le célèbre mystique américain. En effet,quand on demanda à Egard Cayce comment fut construite la Grande Pyramide de Gizeh, il a répondu : « par l’usage de ces forces de la Nature qui permettent au fer de flotter. Pareillement, on déplaçait les pierres à travers l’espace aérien. »…
Extrait page 87 d’un ouvrage époustoufflant de Victorino del Pozo intitulé « SIRAGUSA messager des extraterrestres » paru aux Éditions COSMICA en 1979 :
»Les grandes pyramides, les originelles, furent, des temples de la sagesse, où étaient imparties les connaissances et les concepts qui servirent de guide à cette génération. Elles ne furent pas construites par des masses d’esclaves, mais avec l’intervention de grands moyens provenant du développement atlante. Pour leur construction, on compta sur l’aide extérieure. Les pierres pouvaient être remuées facilement, car dans la zone on opéra en limitant la force de gravité. Et les immenses blocs de pierres ne furent pas tirées par des esclaves, mais furent fabriqués sur le lieu même de leur utilisation par un procédé de cristallisation du sable. »
Le 14 janvier 1983 Mijo Potier une médium « vit » la construction d’une pyramide, les blocs de pierre étant amenés par les airs avec un vaisseau qui les transportait grâce à un appareil spécial utilisé pour l’anti-gravitation. Les blocs de pierre devenaient aussi légers qu’une plume.
« Mais par la suite on me fera connaître d’autres façons de déplacer de grosses masses de pierres, grâce aux pouvoirs de certains grands prêtres égyptiens et mayas qui utilisaient le son. »
Pour les sceptiques, sachez que nous venons tout juste de commencer à étudier le principe de lévitation par onde sonore : en voici la preuve avec la vidéo ci-dessous :
Attention ! Je ne prétend pas que cette théorie est la »Vérité » !! Je veux juste prendre en considération toutes les théories, même si elles nous paraissent impossible, et irréelles et celles qui ne sont pas aujourd’hui scientifiquement vérifiables. C’est une théorie intéressante qu’on ne doit pas négliger.
Au premier siècle avant Jésus-Christ, l’historien grec Diodore de Sicile avouait son impuissance à rendre compte des méthodes utilisées pour sa construction :
« Ce qu’il y a de plus incompréhensible dans cet ouvrage [la pyramide de Khéops], est qu’étant au milieu des sables on n’aperçoit aucune trace ni du transport, ni de la taille des pierres, de telle sorte qu’il semble que, sans emprunter la main des hommes qui est toujours fort lente, les dieux ont placé tout à coup ce monument au milieu des terres.«
La pyramide de Khéops aurait été officiellement érigée en 20 ans… Or la pyramide de Khéops est composée de 2 500 000 blocs de 2,5 tonnes. Ce qui revient à dire d’après la théorie officielle que les esclaves ont érigé sur le monument 340 blocs de pierre par jour !! Alors qu’aujourd’hui avec nos camions, nos grues, et nos ordinateurs, ajuster 50 blocs de pierres de 2,5 tonnes par jour serait déjà un exploit !! D’après Egard Cayce la construction de la Grande Pyramide dura 100 ans entre 12490 à 12390 av JC. On est bien loin des datations officielles qui tournent autour de 4500 ans.
Il serait juste temps de remettre à jour notre Histoire !
Mots-clefs : Atlantide, gizeh, histoire de l'humanité, pyramides
La théorie de l’antigravitation est une théorie très intéressante.
Bonne journée
Bonjour
Lorsqu’on commence à réfléchir et à analyser les différents points, on se rend bien vite compte que rien ne se tient. Bien des hypothèses ont été échaffaudées mais aucune ne donne une réponse définitive. Le débat reste ouvert.
Marie-Pierre
Dernière publication sur LE KIOSQUE DES MOTS : BONJOUR : LE RETOUR
A voir ma démonstration technique sur le sujet de la grande pyramide.
Infos sur le journal internet en ligne gillespyramidekheops (20 lettres attachées ou http://theseinedite
animation en flash de la théorie trouvée
Si le but est de passer pour un fou au lieu d’un idiot, alors, le fait d’avancer la théorie des extraterrestres sans l’ombre d’une preuve, est la meilleure manière d’y parvenir.
Dans le monde de la Science les sentiments et les fantasmes sont des anomalies bien malheureusement trop répandues.
Ne vous perdez pas en conjecture, étudiez ce qui est concret et vous découvrirez des explications toutes simples et parfaitement cohérentes.
http://www.davidovits.info/francais/archeologie/
ah oui ? Cela ne me fait rien d’être traiter de fou ou d’idiot. Après tout, un nombre incalculable de scientifiques et de penseurs comme Copernic ont du aussi passer par là ! De plus, je n’ai jamais affirmé dans mes articles que les constructeurs des pyramides sont des extraterrestres. Les ovnis ne sont des fantasmes que pour ceux qui ne veulent pas se donner la peine d’en savoir plus. MOI, à la différence de tous ces scientifiques bornés comme vous, j’étudie des phénomènes concrets: à savoir l’apparition de phénomènes inexpliqués depuis des centaines d’années dans le ciel. Si vous ne voulez rien entendre, c’est bien dommage ! Ah l’orgueil est de taille chez nombre de scientifiques ! Continuer à écrire vos petits articles bien pensant… ! c’est toujours bon pour votre ego
Bonsoir! L’énergie tachyon était utilisé par Imhotep. Merci pour cet article!
A ce sujet, l’auteur Sandrine Desse émet l’idée suivante dans son roman l’Histoire proscrite:
« …Ebloui, Cyril caressa respectueusement la pierre du
Sphinx. Tout à son bonheur, il en oublia les hommes
armés qui les escortaient. Alexis le couvait d’un regard
souriant. Dominique, en sueur, peinait à les suivre. Son âge
et son poids ne s’accommodaient pas à cette torride
chaleur.
« – Je suis en train de crever d’avoir fait trois pas et tu
voudrais me faire croire que ce sont des humains qui ont
construit ça ? Si c’était le cas, il y aurait plus de squelettes
que de grains de sable, ici ! Alexis lui tapota doucement le
ventre du bout de son index.
– Cher ami, je pense que le principal secret réside dans
une nourriture moins riche…
– Ils étaient sensés porter bien plus sur leur dos que
moi sur le ventre… Bon Dieu, je suis en train de cuire !
Cyril lui lança un regard incrédule, puis son visage
s’illumina.
– Si ça a l’air impossible, c’est qu’ils ne l’ont pas fait.
L’explication la plus logique est toujours la plus proche de
la vérité. Les théories les plus folles circulent pour
expliquer le mode de construction de ces monuments. Une
des théories qui fâchent le plus les égyptologues est celle de
la pierre réagglomérée à partir de calcaire désagrégé émise
par Joseph Davidovits en 1978. Et pourtant, les dernières
recherches scientifiques tendent à lui donner raison,
d’autant plus que le calcaire argileux est naturellement
présent sur les lieux de la construction. Sa théorie visait à
trouver une réponse pratique aux difficultés liées au
transport, au levage ou à l’ajustement très serré des blocs,
ainsi qu’à d’autres questions réputées insolubles comme la
fabrication des statues et des vases de pierre dure aux
formes fines et à l’aspect de surface soigné qui semblent
impossibles à réaliser par des méthodes de taille, surtout à
une époque où l’outillage était essentiellement de pierre et
de cuivre. Joël Bertho va dans ce sens en affirmant que
d’importants blocs de pierres concaves et convexes
s’assemblent parfaitement au millimètre près ce qui est
impossible à faire en taillant les pierres. Avec une
extraordinaire mauvaise foi, Jean-Claude Golvin a retoqué
ces théories en répondant que la provenance de toutes les
sortes de pierres constituant les pyramides est parfaitement
connue, les pierres des assises étant en calcaire silicieux
provenant de Gizeh même où les carrières sont encore
visibles, le parement venant de Tourah et le granite des
chambres funéraires étant issu des carrières d’Assouan. Il
ajoute en conclusion qu’il ne voit pas pourquoi les
Egyptiens se seraient compliqué la tâche en fabriquant de
la pierre alors qu’ils en avaient à revendre. On pourrait lui
répondre en lui disant qu’ils l’ont fait pour les mêmes
raisons que nous préférons utiliser aujourd’hui le béton
pour nos constructions. Ça facilite la manutention, et ça
améliore l’étanchéité et la solidité de la structure. Mais si je
crois que Davidovits a raison sur le principe, je crois qu’il
se trompe sur la méthode. Il est compliqué de trouver de
l’eau dans le désert, or c’est un élément essentiel pour
agglomérer la poudre de calcaire et un liant quelconque.
Par contre, le soleil est généreux… Avez-vous entendu
parler du four solaire d’Odeillo ? Grâce à lui, on peut
obtenir en quelques secondes des températures supérieures
à 3500°C. Pour en construire un, il suffit de savoir
fabriquer des miroirs. Or, on en a régulièrement retrouvé
dans les sépultures. Et le calcaire entre en fusion à 840°C
seulement. Ce sont bien des pierres moulées. Fondues et
moulées. Ces hommes ne se sont pas inutilement épuisés à
transporter ces pierres monumentales. Ils ont tout
simplement transporté des sacs de poudre calcaire jusqu’au
four solaire et les ont fondus puis moulés directement sur
place, un peu comme nous le faisons avec une
bétonnière…
– Enfin, Cyril, on ne peut pas faire fondre une roche…
Objecta doucement Dominique.
– Ah, c’est nouveau, ça ! Et le magma, c’est quoi, à
votre avis ? De la roche fondue ! Ils n’étaient pas plus bêtes
que nous, nos anciens… Il n’y a aucune raison qu’ils
n’aient pas compris ce phénomène naturel. J’en veux pour
preuve qu’une étude paléomagnétique des deux grandes
pyramides d’Egypte a été récemment menée. Elle est basée
sur l’hypothèse que si les blocs ont été fabriqués in situ par
agglomération leurs moments magnétiques auraient été
tous parallèles, orientés à peu près dans la direction nordsud.
Toutefois, si les pyramides ont été construites à partir
de blocs naturels, extraits et transportés depuis les carrières
voisines, ayant subi une rotation aléatoire au cours du
transport et de la construction, alors les directions de leurs
moments magnétiques seraient orientées au hasard.
L’étude conclut que les paléodirections des trois
échantillons présentent l’orientation commune nord-sud,
ce qui permet de penser qu’ils ont été effectivement
produits in situ.
– Je veux bien, Cyril, mais si le revêtement des
pyramides est effectivement en calcaire, si on le soumet à
une décharge électromagnétique, elles tombent en
poussière. Remarqua Alexis.
– Le docteur Philip Callahan a mesuré le calcaire qui
couvre la grande pyramide. Il est diamagnétique. Le granit
rose utilisé à l’intérieur du bâtiment est en revanche l’une
des substances les plus paramagnétiques qui existent. C’est
un sarcophage efficace contre le magnétisme et qui permet
de protéger les matériaux du monument. Il n’est d’ailleurs
pas exclu que des grains de silice aient été volontairement
ou accidentellement mélangés en quantité infinitésimale
au calcaire en fusion, l’émaillant de petits morceaux de
verre qui est un bon isolant si je ne m’abuse.
– Vous avez raison, mais je ne vois pas de traces de
verre autour de nous. Un four d’une puissance telle qu’il
permet la fusion du calcaire aurait transformé le sable qui
l’entourait en verre et nous en aurions des traces visibles !
– Et le verre lybique ! Il y en a 6500 km carrés… Que
vous faut-il de plus ?
– Le désert lybique… Ce n’est pas à côté ! Ça ne plaide
pas en faveur de la fusion et du moulage in situ…
– Je vous le répète : ne les prenez pas pour des idiots,
ces Egyptiens ! Ce verre lybique n’est pour moi que la
preuve qu’ils ont testé leur méthode et leur matériel avant
de passer aux choses sérieuses. On n’a pas construit la
première bétonnière sur le chantier de l’Empire State
Building, nous !
– Alors pourquoi n’y a-t-il pas de verre autour des
pyramides ?
– Parce que le four n’était pas au sol, tout simplement.
Puisqu’il est communément admis qu’ils maîtrisaient l’art
des échafaudages… Je ne vois pas ce qu’il y a d’impossible
à cela…
– CQFD ! Conclut Dominique en lui donnant une
grande bourrade dans l’épaule…. »